“ Violence without passion is pointless. It’s like fucking without cumming. " - Clarence “Lover” Weyland. Sam 6 Mar - 17:43 | |
| Memento mori Weyland Clarence Surnom : Lover. (A cause d’une rumeur prétendant qu’il tuerait pour venger la mémoire de sa bien aimée. Il est vrai qu'il est sans doute plus rassurant de rationnaliser toute cette violence). Âge : 28 Genre : Masculin Orientation Sexuelle : Hétérosexuel Métier : Meneur - Memento mori Signes particuliers : Nombreuses cicatrices, aucun implant malgré des capacités physiques le laissant penser. Le reste est relativement… banal. Pour le meilleur et pour le pire.
Jacket - Hotline miami DESCRIPTIONS Violent -Impulsif - Dépendant - Inconscient - Acharné - Cynique -Nihiliste - Imprévisible - Paranoïaque - Passionné - Misanthrope - ExtrêmeRecueil de témoignages divers.
Vous saisissez déjà le tableau, hein ?
Il y aurait mille et unes raisons de craindre un tel animal. A tel point que milles et unes rumeurs dégueulasses courent à son sujet, lesquelles voudraient faire croire qu’il dévorerait ses victimes ou certaines parties de leur anatomie bien précises. Pourrait-on vraiment en vouloir à leurs colporteurs ? Quiconque eût à subir sa fureur s’en retrouva si méconnaissable qu’il aurait été aisé de croire à un accident de la route. Mais peu “d’accidents” font autant de morts… n’est-ce pas ?
Adam E. Wright, journaliste.
Si moi je suis dangereux, ce type est une catastrophe sur pattes. Merde, je l’ai déjà vu éclater le crâne d’une dizaine de gars tout seul. Des femmes, p’tet même des gosses dans le tas. Mais forcément, lui, il dirige pas sa violence au hasard. On aimerait faire croire que c’est un énième détraqué, ptet un tueur en série. Mais il sait parfaitement ce qu’il fait. Tout est voulu et calculé, tout est fait pour servir la cause. J’aimerais pas avoir un implant nanonique et m’retrouver en face de lui. Ou ptet que si, justement.
Mitch Murder.
Il sait se montrer doux… et violent à la fois. Quel drôle de personnage. Je crois qu’il est impossible de le décrire en quelques mots, mais je peux vous assurer que tout ce qu’il fait est animé par la passion. Une passion indéfectible et brûlante, trop brûlante. Parmi toutes ses cicatrices, il doit bien y avoir quelques marques volontaires…
Prostituée anonyme.
Pour l’avoir vu en action, je crois avoir saisi son talent. Pas besoin d’implants pour être efficace. Il est malin, fort, imprévisible. Tout ce qui passe entre ses mains devient une arme. Peu importe à quel point votre corps peut être cybernétique, personne n’est invulnérable et il me l’a prouvé maintes fois. Plus l’on se croit hors d’atteinte, plus il est simple de vous faire tomber de haut… je crois que lui-même l’a expérimenté plusieurs fois. Vous auriez vu son corps, je ne sais pas qui l’a rafistolé mais ça a dû arriver un paquet de fois et sur de nombreuses années. A croire qu’il n’y a pas besoin d’implant nano’ pour défier la mort.
Lysandre Moreau, Recrue de Memento mori.
Je me demande comment se l’imaginent les autres. Sûrement comme une espèce de brute difforme à peine capable de parler. Comme un fou incapable de discerner le bien du mal. Conneries sur conneries. Il sait parfaitement ce qu’il fait, et plus encore, ce con aime ça. Il ne se l’avouera sans doute jamais, mais ouvrir des crânes pour en déverser le liquide érubescent de la mort lui plaît plus que tout.
Et pourtant, personne ne se douterait de ça en le croisant dans la rue. Grand sans être vertigineux, cheveux blonds, yeux verts… un beau gosse athlétique comme on en verrait plein, pas grand chose de nouveau à Megacity. D’autant plus quand on sait qu’il n’a pas d’implants. Merde, on pourrait même le trouver sans intérêt. Et c’est bien là sa force: je doute que personne ne soit jamais mort de sa main en l’ayant correctement jaugé. Faut croire qu’il tape fort. Et qu’il ne s’arrête jamais.
Mais croyez-moi, il y a bien une chose qu’on puisse discerner d’autrui. Son putain de regard. Une sorte de serpent, un loup, un dragon, tout ça à la fois. Même moi, quand il m’a regardé, j’ai cru l’espace d’un instant n’être qu’une pièce de viande. Lover n’a pas peur de la mort, ni des gens, ni de rien d’autre. Faudrait bien ça pour faire couler autant de sang de toute manière. C’est pour ça qu’il est passé meneur. Même pas certain qu’il l’ait voulu, mais il est devenu tellement utile… mieux vaut ne pas gâcher les cartes que l’on a en mains.
??? Tête pensante.
J’ai vu mille et unes choses. Je suis certain que plus de la moitié ne sont rien d’autre que le fruit de mon imagination étriquée. Hier encore, j’avais cru massacrer mon boucher dans un accès de rage inexpliqué. Mais le lendemain, il était toujours là. Je l’ai achevé, et je suis revenu vérifier une fois de plus histoire de m’assurer que je n’étais pas fou. Je ne sais même plus ce qu’il m’avait fait, j’ai juste horreur du travail bâclé.
[...]
J’ai l’impression que ma cervelle cherche à sortir de mon crâne. La douleur est ahurissante. Sans doute une conséquence de l’alcool et du carton que j’ai pris tout à l’heure. Ou était-ce hier ? Je ne sais plus. Le temps n’existe plus, lui non plus. J’ai juste hâte de mon prochain contrat. La, je pourrais me rendre utile. Faire avancer la cause. M’en tenir à mon devoir… et cesser de m’autodétruire faute d’avoir quelque chose de mieux à faire. Après tout, ce journal n’existe que pour m’assurer que je n’aurais pas oublié qui je suis demain.
Clarence Weyland.
Je n’ai jamais vu un patient pareil. Oscillant entre absences presque comateuses et moments de lucidité intense, l’homme semble habité par plusieurs versions de sa propre conscience et surtout marqué par de graves troubles neurologiques et psychiques. Le mariage détonnant des diverses drogues qu’il consomme (Cocaïne, LSD, Marijuana, Crystal Meth) et la violence manifeste de son quotidien doivent en être la cause. Moi-même ne suis plus sûr de rien. Tout ce que je sais, c’est que monsieur Weyland est un être exceptionnellement résistant. Je ne peux expliquer cela que par du matériel cybernétique avancé.
Le patient semble être addict à la satisfaction immédiate. Incapable de tenir une quelconque relation sur la durée, ce dernier préférera le sexe tarifé ou les conquêtes d’un soir plutôt qu’une aventure romantique. L’utilisation de drogues récréatives ne fait d’ailleurs que le confirmer, Weyland n’est pas un homme qui voit loin. Peu étonnant au vu de son indifférence, et même de cette forme de résignation qu’il montre à chaque entretien. Weyland semble être un homme au destin qu’il juge lui-même tout tracé, et qu’il aime embrasser pleinement.
NB: Souvent vu avec une balle antistress, contrastant avec la personnalité qu’il affiche. Je n’ai pas osé questionner son utilité: il avait du sang sous les ongles.
Artyom Njardan, psychologue. HISTOIRE Ça vient bg (si quelqu'un pouvait me graph un truc pour rendre cet avatar moins morne en attendant svp...) Votre pseudo
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Fun facts : A savoir en plus.
Votre personnage a-t-il un implant nanonique ? Si oui, son corps est-il naturel (humanoïde), synthétique (bioroïde) ou cybernétique (androïde) ?
Que pense-il de l'implant nanonique et de l'immortalité ? Votre opinion
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All my life I've been driven by perfection. Re: “ Violence without passion is pointless. It’s like fucking without cumming. " - Clarence “Lover” Weyland. Sam 6 Mar - 17:56 | |
| Bienvenue ici ! Hâte d'en lire plus sur ton personnage. |
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All my life I've been driven by perfection. Re: “ Violence without passion is pointless. It’s like fucking without cumming. " - Clarence “Lover” Weyland. Sam 6 Mar - 18:18 | |
| Utilisateur banni ip suite à comportement problématique sur différents forums. |
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Re: “ Violence without passion is pointless. It’s like fucking without cumming. " - Clarence “Lover” Weyland. | |
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