All my life I've been driven by perfection. Aaliya ♫ Perfection is a disease of a nation Ven 20 Nov - 23:37 | |
| Consortium Safia Rahmane Surnom : Aaliya (planétairement connue uniquement sous ce nom) Âge : 62 ans, trentaine physique. Genre : Féminin Orientation Sexuelle : Pansexuelle, peu attirée par les gens en général. Métier : Superstar planétaire de la Mpop, chanteuse, danseuse. Signes particuliers : Toute son apparence est son signe particulier, son apparence est sous copyright.
ft. Qiyana (True Damage) LoL DESCRIPTIONS Bosseuse - Control Freak - Passionnée - Courageuse - Exigeante - Solitaire - Acharnée - Pudique - Maternelle
L’emballage est magnifique et pour cause, il a été designé pour. Une peau métissée comme un clin d’oeil à de lointaines origines qui ne veulent plus dire grand chose mais donnent l’air exotique. De longues jambes qui la juchent sur un parfait mètre soixante-quinze, calibrée comme une déesse, au corps tout en courbes. Le poids ne dépasse pas les 60 kilos de muscles entretenus tous les jours suivant un régime strict. Le visage ovale est doté de pommettes saillantes, de longs yeux d’or en fusion, une bouche lippue naturellement rougie. Des cheveux roses fushia et turquoise qui marquent la mode depuis des générations et qui changent de coupe et de couleurs au gré des tendances versatiles. Une poitrine modeste, juste assez pour être sexy sans entraver les mouvements, qu’elle a félins, taillée et musclée par la danse. L’on dit si souvent qu’elle est superbe, magnifique même. Quelle belle enveloppe, un magnifique emballage. Un corps cloné sous trademark dont elle change dès qu’il accuse un instant le passage du temps, les inlassables décennies. L’humain reste, derrière le masque de chair lisse et la peau trop douce. De longues mains aux doigts manucurés. La beauté brute, un joyau, un pur produit du Consortium. Pensé pour être aimé, adoré et adulé. Elle ne passera pas inaperçue, jamais. Et être belle ne l’atteint même plus. Est-ce vraiment un compliment ? Elle est fausse, fabriquée, produite et pensée. Elle n’existe pas.
Mais il reste la voix, la seule chose authentique dans cet univers fabriqué : une voix intense, qui retourne, que l’on aime autant que l’on déteste mais que l’on ne peut oublier. Elle est belle, sa voix. Elle est sublimée par plus de quarante ans de carrière et est partout. Dans la pub pour la dernière boisson à la mode, dans les extraits de son nouvel album, dans ces émissions populaires dont elle est l’invitée ou la juge. Sa voix seule est vraie, tout le reste est poudre aux yeux et paillettes. Ses tenues sont à son images, pensées pour elle par son styliste privé. Rien ne doit être laissé au hasard. Tout doit se vendre, donner envie à ces gosses qui l’écoutent d’acheter le même sac, les même lunettes. Elle ne porte pas des affaires à la mode : elle est la mode. Et si tout est un produit, alors elle aussi. Le plus beau de tous les joyaux, qui vaut à elle toute seule des milliards de dollars martiens, gardée comme un trésor national. Un oiseau chanteur qui ne peut que donner l’illusion de voler en réalité augmentée.
Sous l’emballage, il y a une femme. Sous les apparences et la personnalité presque préfabriquée, il y a un coeur. Une petite âme qui se débat en silence, sans jamais faire de vagues. Elle est partie de rien, s’est hissée à la seule force de ses bras pour arriver non pas en haut mais au sommet. Au prix d’immenses sacrifices, elle est parvenue à ses fins. Tout en haut de son building de verre et d’acier, elle contemple la ville tentaculaire : elle règne sur son empire, son image est partout. Que reste-t-il de l’enfant d’autrefois alors ? Juste un petit coeur qui bat parfois, d’une douce pulsation solitaire. Elle qui est sans cesse occupée et sans cesse à courir, quand tout s’arrête : que fait-elle ?
Le silence seul rythme ses courtes nuits solitaires, les rares moments entre deux. Deux émissions, deux enregistrement, deux tournages de ses clips, deux publicités pour des produits dont elle se fout bien. Cet immobilisme elle le déteste autant qu’elle le désire parfois. Un instant pour souffler, seule avec elle-même. Mais est-elle vraiment entourée ? Une nuée de faux amis, papillons sociaux, tout un tas de gens, de la maquilleuse à la stagiaire qui lui dépose les fleurs dans sa loge. Du compositeur au chorégraphe, des gardes du corps aux fans qui scandent son nom. Toujours, il y a cette foule et elle, seule au milieu. Aaliya sourit toujours, sauf lorsqu’on espère lui apprendre son métier : lorsqu’elle parle de chant, c’est avec passion. Et c’est avec cette même émotion qu’elle entend certains lui dire le plus beau des compliments : “votre musique m’aide à tenir.” Tout le reste ne vaut rien. De l’or en toc et des paillettes sans attrait. Le fait de toucher les autres, de leur offrir des émotions, la seule chose vraie que personne ne pourra jamais leur enlever. Sa musique veut frayer jusqu’aux tréfonds, parler avec cet inconscient refoulé que tous ont. Que l’on aime ou que l’on déteste, elle touche les gens du bout du doigt, leur redonne du réel. Les ancre quelque part tout au fond de leurs cœurs fatigué. Son cadeau à l’humanité : un instant pour se souvenir qu’il demeure une chose que même les corps artificiels ne pourraient leur enlever : leurs sentiments. Ce qui fait d’eux tous de simples humains.
Pur produit du consortium, elle ne s’appartient pas vraiment. Elle est ce qu’ils ont fait d’elle. Ce corps n’est qu’un produit, un outil à brasser du fric. Elle ne le dira jamais, à qui que ce soit. Devant, elle sourit : le Consortium donne sa chance à tout le monde et c’est toi qui est trop faible pour supporter la pression. Caméras éteintes, seule devant le miroir, il y a le dégoût. L’écœurement d’un système qu’elle a dû embrasser à pleine bouche pour réussir. Elle a l’air docile, la poupée à fric et l’on ne mord pas la main qui nous nourrit. On a une relative confiance en elle, à présent : elle rapporte trop pour ne pas avoir mérité plus de libertés qu’à une sombre époque où elle a dû tout apprendre. Ainsi Aaliya est-elle, ombre toute parée de l’or des lumières des projecteurs qui drapent son corps de satin. Mais avec l’âge vient le doute : qu’en sera-t-il lorsqu’elle ne sera plus aussi vendeuse ? Quand le succès tournera ? Quand elle ne sera plus si populaire ? Existe-t’il pour elle une retraite dorée et paisible dans son penthouse ? Ou bien, tout comme tout produit qui ne se vend plus…. finira-t-elle abandonnée ou pire, recyclée ?
En attendant, elle demeure reine d’un empire féroce. Elle travaille, dur. Aussi exigeante envers les autres qu’envers elle-même, elle semble une diva tyrannique au caractère de feu. La vérité est qu’il y a de la douceur, de la tendresse maternelle pour ces ouailles qui se heurtent à la dureté de la réalité du milieu. Pour ces gens qui ont le même rêve qu’elle mais qui ne réalisent pas encore que c’est seulement dépourvu de tout que l’on parvient à embrasser son rêve. Il y a un prix pour chanter et celui-ci est exorbitant. Alors elle ne leur passe rien, à personne. Il faut endurer ou abandonner, ce qui revient à mourir à ses yeux. Aaliya semble avoir plein d’amis, des tas de gens qui l’apprécient mais personne qui l’aime vraiment ou la comprenne seulement. Le sommet est solitaire. C’est le prix : celui de n’avoir que des faux-amours de tabloïds. Des relations superficielles là pour relancer une carrière ou pour simplement faire parler d’elle. Tout est artificiel. Tout est fabriqué. Et son coeur à elle, machinerie délicate, ne sait pas vraiment comment aimer.
HISTOIRE << ... C'est dans son ravissant penthouse que la célèbre chanteuse Aaliya nous reçoit ce soir. On ne présente plus cette star interplanétaire de la M-pop qui a dépassé récemment les 300 millions d'albums vendus sur l'ensemble de sa fructueuse carrière à l'occasion de la sortie de son dernier album "Only Me" dont le single éponyme s'arrache déjà sur les réseaux. Elle nous enchante depuis des décennies chers téléspectateurs, votre idole se met à nu ce soir dans votre TalkShow préféré ! Aaliya, bonsoir, tu es sans conteste la Queen de la Mpop mais d'où te viens ton don pour le chant ? Tu as été récemment beaucoup décriée pour avoir directement critiqué M.Goya et ses augmentations cyberware. L'on dit que tu aurais plusieurs fois refusé d'être augmentée pour la chanson ? Est-ce de vilaines rumeurs ou la vérité ? >> Bonsoir, Corben, bonsoir cher public. Alors pour te répondre, je trouve qu'avoir recours au cyberware pour chanter est une solution de facilité. Une voix se travaille et cela réclame des efforts. Je pense que l'on remarque immédiatement la différence entre l'authentique et l'auto-thune intégré, non pas au niveau de la qualité de la tessiture mais plutôt en ce qu'elle fait vibrer au fond du coeur. Je trahirais mes fans en acceptant les augmentations, parce que j'ai toujours eu à coeur de vous livrer de l'authentique depuis près de trente ans et j'en suis fière. Les fans rageux de M.Goya ne me font pas peur : ils l'auront oublié l'année prochaine, avec la nouvelle star du même moule. Quant à ce que tu appelles un don, il s'agit ce que je rabâche à toutes les étoiles montantes de la chanson : il n'y a pas de talent, seulement du travail. Il y a des prédispositions pour le chant, mais personne ne devient une star avec quelques facilités. Elle se tait, abaisse un instant la frange de ses cils parfaitement courbés, masque une seconde fragile l'or en fusion de ses beaux yeux. A quoi pense-t-elle, cette reine en son château ? Impératrice couronnée d'un empire en toc qui ne lui appartient même pas vraiment, elle rajuste la veste de soie bleu nuit qui pare sa peau brune de son froissé scintillant. Un don, ils disent. Un don de qui ? Des dieux, du destin ou du hasard ? Elle n'en sait rien. Elle sait juste qu'elle a toujours aimé chanter. Même lorsqu'elle n'était qu'une gamine déguenillée des ruelles les plus pauvres de Megacity. Elle a grandit dans quelque coin craignos de la grande capitale avec pour seul avenir un boulot minable. Ses parents, farouches détracteurs des implants nanoniques n'auraient pu de toute façon s'en payer. A quoi sert de rêver ? Cela ne rend qu'envieux. Sois déjà contente de ce que tu as. Mais comment être contente lorsqu'on rêve de danser et courir et que l'on est née avec une malformation des jambes qui la cloua bien trop tôt dans un fauteuil ? Elle ne pouvait que rester là, avec les reproches de son père : elle leur coûtait tellement cher. Ce n'était pas avec des rêves que l'on gagnait sa vie. Elle était petite lorsqu'elle cessa de vraiment sortir de sa chambre, à seulement dix ans. La porte verrouillée et les parents impuissants, éloignés, barrés déjà de sa vie. Elle chantait alors en regardant les vidéos de ces stars qu'elle adulait. Elle chantait tant et si bien qu'à force de s'ennuyer pendant sa réclusion volontaire, les parents ayant abandonné l'idée de simplement la faire sortir, qu'elle fit quelques covers maladroites. Le son de son casque était mauvais. De clip il n'y en avait pas, seulement une petite animation très basique qu'un type du net avait accepté de lui faire. Et sa voix. Celle qui vaudrait un jour 4 milliard de dollars martiens.<< De toi à moi, Aaliya, ta carrière est phénoménale. Tu as été repérée très jeune, d'après mes sources. Tu as participé à notre programme national gracieusement fourni par Wondertainment. Cela a pris presque dix ans avant tes véritables débuts solo. Qu'est-ce qu'on ressent lorsque l'on est directement castée par le Consortium ? Beaucoup des concurrents t'ont envié, j'imagine... Aujourd'hui tu es une star accomplie et jurée des mêmes émissions que celles que tu vivais dans ta jeunesse. Tu as été la pouliche de Starlord Smith, désormais DG chez Wondertainment et beaucoup ont cru à une romance secrète entre vous... Ne me fait pas languir, qu'en-est-il ? Le nom de son manager lui arrache comme un lambeau d'elle-même. Il y a longtemps qu'ils ne sont plus que des partenaires de travail. Il y a longtemps que tout est mort, brûlé par l'industrie même qui les a façonné. L'a-t-elle aimé ou simplement admiré ? Il est celui qui a un jour frappé à la porte de ce taudis des bas quartiers pour enlever une enfant de quatorze ans à son triste destin pour lui offrir ce qu'elle n'aurait pu rêver : un corps rien que pour elle. Celui qui serait celui d'Aaliya, le pseudo fabriqué pour elle. Et le prix indécent à payer : celui de l'excellence et de ne plus s'appartenir. Mais pour marcher, Aaliya aurait tout donné. Il avait fallu tellement d'heures de rééducation motrice pour qu'elle parvienne à apprivoiser la marche, la course et enfin la danse, des douleurs muettes qu'elle ne racontait à personne. Des souffrances incroyable quand chaque pas sur le sol était comme recevoir la piqure de milliers d'aiguilles. Et le sourire rare et lointain de Starlord quand elle arrivait en courant auprès de lui. Il n'était qu'un simple cadre ambitieux. Elle n'était qu'une recrue parmi toutes les autres et avait tant à apprendre. A être une femme avant d'être une adolescente. A être une star avant d'être Safia. Safia était morte, achetée par le Consortium et elle ne leur devait pas moins que l'excellence.
Aaliya n'a pas cessé de sourire. Pas un seul instant elle ne cille à l'instant de fixer Corben Rhod et son micro tendu vers elle, ignorant les drones caméras qui tournoient autour d'eux comme un essaim. Elle n'hésite pas.>> Je suis désolée de te décevoir mais mon manager et moi-même n'entretenons pas de relation de ce type. Je sais que beaucoup nous imagine plus que des collaborateurs mais je suis célibataire... avis aux amateur.ices - rires - Mais en effet c'est bien lui qui m'a castée lorsque j'avais... quatorze ans ? Ca ne nous rajeunit pas mais ça va nous n'avons pas pris une ride - rires. A l'époque, je rêvais déjà d'être chanteuse et j'ai eu la chance d'être remarquée, ce qui m'a en effet valu le mépris de beaucoup de jeunes gens qui étaient là après avoir candidaté par eux-mêmes. Mais tu sais bien depuis les années que je ne fais pas grand cas des haters. Haters gonna hate, comme on dit, et j'ai simplement travaillé dur et offert le fruit de mon travail à l'appréciation de mon public. Ca a été difficile mais rien n'est facile si l'on veut se donner le moyen de ses ambitions et la mienne à toujours été de toucher les cœurs avec ma musique. Elle est sincère. Ca a toujours été cela. Rappeler que dans ce monde devenu fou, il y a encore des humains sous l'immortalité factice. Il y a bien longtemps qu'elle a perdu ses illusions de débutante. Ce n'est pas un don, sa voix. C'est une monnaie d'échange avec le Diable. Des jambes contre sa vie. Elle est leur poupée depuis si longtemps... Bien sage, docile. Elle est ce qu'ils ont voulu. Ce que les ambitions des autres ont décidé pour elle. Son sourire ne fléchit pas. Elle ne montrera jamais ce visage qu'elle n'offre qu'au silence de l'appartement déserté de tous. Ce chagrin solitaire qui ne guérira pas. << Sur une note moins joyeuse, je pense qu'on est nombreux à s'inquiéter à cause des récentes déclarations de ces repoussants terroristes de Memento Mori... Tes fans sont bouleversés depuis qu'ils ont déclaré vouloir, je cite "détruire la poupée du Consortium" et ont promis - j'en frissonne - ta mort définitive et irrémédiable. Comment te sens-tu vis à vis de cela, ma chère Aaliya ? Cela devait arriver. L'on ne peut être au sommet sans attirer les jalousies et la haine. Elle est une cible, désormais. Ses beaux yeux se voilent un instant, ses traits se font plus graves. Elle cache tout au fond d'elle-même ce minuscule écho qui en vient presque à vouloir que tout s'arrête ainsi, dans un dernier feu d'artifice. Libérée de cette servitude éternelle, cette amorale éternité. Elle serait alors l'icône suprême, accédant à la seule véritable immortalité : celle de son œuvre. Alors elle répond dans un sourire et incline sa jolie tête à la jeunesse éternelle sur le côté dans une cascade de ses cheveux azur et fushia : >> Je suis touchée de l'inquiétude et des messages de soutient que je reçois depuis. Je suis profondément reconnaissante envers le Consortium qui a fait de moi ce que je suis aujourd'hui et surtout rassurez-vous : ils prennent ses menaces sur ma personne très au sérieux et je vais bénéficier d'un programme de protection renforcé. Je n'arrêterais pas ma tournée spatiale pour autant, "Only Me" est un album très ambitieux dans lequel je met beaucoup de moi-même et je ne vais pas laisser la peur et l'intimidation gagner. Ce serait donner raison à ces fous fanatiques. Je suis certaine que le Consortium saura parfaitement me protéger alors je n'ai pas peur. Merci de votre amour à tous. << Awn, merci à toi, Aaliya, de nous avoir reçu et pour ces messages d'espoir. Chers téléspectateurs, ruez-vous sur Only Me, le dernier single d'Aaliya et sur son album éponyme ! Elle est en or et on l'adore ! C'était Aaliya pour Corbeeeeen Rhoooood ! A vous les studios. Livia
33 ans
Comment avez vous connu le forum ? J'ai saigné dessus
Un dernier mot ? Non.
Fun facts : ♫ Trois fois disque de diamant, considérée comme LA référence en matière de pop martienne. ♫ Sa voix est naturelle et sa passion pour le chant est réelle. ♫ Danse et suit un régime drastique. ♫ N’a littéralement pas de vie. ♫ Participe à toutes sortes de pubs, émissions et autres, réputée pour être dure et exigeante avec son staff’.
Votre personnage a-t-il un implant nanonique ? Oui, c'est une synthétique et elle a plusieurs clones.
Que pense-il de l'implant nanonique et de l'immortalité ? En public elle dira que c’est une formidable invention et une immense opportunité pour l’humanité toute entière de pouvoir ainsi cesser de s’inquiéter du vieillissement et de la mort. La vérité est qu’elle est plus mitigée sur le sujet, se sentant souvent en décalage avec son propre corps et éprouvant parfois la nostalgie d’un vieillissement naturel.
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Your average virtual waifu ~♥ Re: Aaliya ♫ Perfection is a disease of a nation Jeu 26 Nov - 23:55 | |
| Félicitation, tu es validé.e !Maintenant que tu as passé la première étape, il te reste deux ou trois petites choses à faire avant de commencer le rp : tu peux aller recenser ton avatar dans le bottin prévu à cet effet, créer ton agenda personnel qui contiendra tes liens, tes recherches et tes rps ainsi que ton entrevue.
Si tu es à la recherche de rps, tu peux venir en demander sur le topic adéquat, ne soie pas timide ! Pour finir si ce n'est déjà fait, je t'invite à rejoindre notre Discord pour faire plus ample connaissance avec les autres membres, papoter rp, liens, gifs de chats... ceci étant dit, bienvenue sur Hubrid et amuse-toi bien ! <3 |
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