I'm a healer but... ▬ Tyze Dim 13 Déc - 21:07 | |
| Tres Angustias Aurora Bailey Surnom : Sœur Tyze, Magicienne des bobos pour les enfants. Âge : Aussi bien en apparence qu'en réalité, 23 ans. Genre : Femme. Orientation Sexuelle : Tout le monde mérite d'être aimé, sans distinction. Métier : Infirmière. Signes particuliers : Des canines très pointues, dignes d'un vampire et deux grains de beauté l'un à côté de l'autre sous l'œil gauche.
ft. Sukoya Kana - Vtuber Nijisanji DESCRIPTIONS
Festive - Hyperactive - Aimable - Souriante - Exemplaire - Altruiste - Crédule - Maladroite - Sadomasochiste Tu as toujours été une enfant pleine de vie. À peine avais-tu appris à marcher que tu commençais déjà à courir partout dans la maison, coursant ton grand-frère tout en riant aux éclats. Rien ne pouvait t'enlever cet énorme sourire qui planait constamment sur ton visage, même pas les cris de ta mère quand tu faisais une bêtise. Des vases, tu en as cassé. Tellement que tu n'arrives plus à les compter. Ta maladresse est légendaire, connue de tous tes proches et de certains de tes patients avec qui tu te relâches peut être un peu trop. Tu es très populaire auprès des enfants. Ta bonne humeur communicative leur permet un instant d'oublier leur souffrance, qu'il s'agisse d'un simple bobo ou d'une maladie encore incurable. Dans la vie de tous les jours, tu t'efforces de rendre le monde meilleur, offrant à ceux que tu croises ce joli sourire dont toi seul a le secret. Lorsque tu vois une personne dans le besoin, tu ne peux que l'aider. C'est instinctif chez toi. Tu t'es plusieurs fois mis dans des situations dangereuses, voire même mortelles, simplement car tu as voulu tendre la main à quelqu'un. Ta mère te le répétait souvent : ta naïveté aura ta peau. Elle a sûrement raison. Quoi qu'il en soit, tu es profondément convaincue que tu peux aider tout le monde et faire de cette ville un endroit meilleur pour ceux qui y habitent et tu t'efforces de le faire, chaque jour, à ta manière. Certains de tes collègues se demandent d'où te vient toute cette énergie, cette soif de vivre et d'aider son prochain. Très sérieuse et appliquée au travail, tu refoules sans cesse tes bas instincts. Cette voix dans ta tête qui te demande de les faire souffrir autant que possible, pour les sauver. À plusieurs reprises, tu as empoisonné certains repas de l'hôpital, prolongeant ainsi le séjour de certains patients. Feignant la maladresse, tu loupes parfois la veine que tu dois piquer, t'y reprenant à plusieurs fois et faisant ainsi couler des larmes sur les joues d'enfants innocents. Tu fais ça pour eux, pour qu'ils comprennent qu'ils sont vivants, qu'ils n'ont pas à craindre la souffrance mais à l'accepter, toute entière. L'embrasser, la faire devenir un mode de vie. Comme tu l'as fais il y a déjà des années. Tu aimes sortir. Aller boire un verre dans un bar, accompagnée ou non. Faire du shopping, te renseigner sur les dernières tendances. Assouvir tes pulsions chez Madame Chu, avec d'autres membres de Tres Angustias. Tu adores faire de nouvelles rencontres, discuter avec des gens tous aussi intéressants les uns que les autres. Tu abandonnes ton identité de Mademoiselle Bailey, l'infirmière, pour devenir Sœur Tyze, une Pleurante déjà bien établie au sein de l'organisation grâce à son ancienneté. Fervente croyante, tu ne rates aucune messe ni aucune occasion de pouvoir être en la divine présence des Trois Mères que tu admires du plus profond de ton âme. Physiquement, tu es plutôt banale. Pas plus jolie qu'une autre sans pour autant être laide. Ton petit mètre soixante-trois te permet de te fondre dans la foule et tes soixante-deux kilos sont répartis équitablement sur l'ensemble de ton corps. La première chose que l'on remarque chez toi, c'est sans doute ton sourire et plus particulièrement tes canines extrêmement pointues qui terrifient certains patients, des petites natures. Une autre petite particularité que les plus observateurs pourront remarquer, ce sont les deux grains de beauté sous ton œil gauche. Honnêtement, tu es plutôt agréable à regarder. Tu reçois beaucoup de compliments sur la couleur de tes yeux, brillants comme l'améthyste. Beaucoup d'enfants te demandent ton âge, perturbés par ta chevelure blanche, dont les pointes sont légèrement plus foncés, tendant vers le gris. Bien que tu passes du temps le matin à coiffer ta tignasse, elle finit toujours par redevenir sauvage. Tu gardes ta frange assez longue pour cacher une partie de ton visage, ne renonçant ainsi pas totalement à la doctrine de Tres Angustias au travail. Pour des raisons professionnelles, tu es obligée de garder un semblant de ton identité d'avant. Aurora Bailey. Là-bas, les gens te connaissent sous ce nom, et seulement celui-ci. Tu fais de ton mieux pour éviter la suspicion de tes supérieurs, des tes collègues, mais aussi des malades. Tous les matins, tu enfiles donc l'uniforme que l'on t'a donné à on entrée dans le service, y ajoutant ta petite touche personnelle avec une barrette et tes bandages couvrant tes poignets, et par la même occasion les cicatrices qui les recouvrent. Lorsque tu sors du travail, tu enfiles des vêtements de civils tout à fait normaux. Tu suis la tendance, comme tout le monde, et tu ne te fais pas remarquer par ton excentricité. Il n'y a que quand tu enfiles ton grand manteau noir et ton masque que tu attires les regards. Lorsque tu immoles tes Frères et Sœurs sur la place publique, pleurant et souffrant pour tous ceux qui ne le peuvent pas, ceux qui n'osent pas, ceux qui ne le montrent pas. Tu es endurante. Il faut au moins ça, si tu veux arriver à t'échapper lorsque tu te fais courser par les agents d'Ares Security. Déshabille toi maintenant Tyze. Nue, tu n'es sûrement plus aussi attirante pour le commun des mortels. Ton corps est constellé de marques blanches, vestiges d'anciennes cicatrices, infligées pour la plupart par la secte. Quelques marques de brûlures descendent de ta clavicule jusqu'à ton ventre. Tu ne saurais dire le nombre exact de tortures que tu as subis, mais ton corps est la preuve vivante que tu en as enduré énormément. Et que, visiblement, tu adores ça. Même si beaucoup de tes marques sont anciennes, tu en comptes aussi d'innombrables qui sont encore fraîches. Morsures et griffures d'amants ou amantes, traces de cordes, dues à ta pratique du shibari, ou encore les cicatrices sur tes poignets, causées par tes tendances automutilatrices. Tu prends grand soin à ce que tout cela reste bien caché sous tes vêtements et autre accessoires, ne voulant en aucun cas alarmer tes patients ou éveiller les soupçons d'un quelconque agent du Consortium. HISTOIRE Deuxième née de la famille Bailey, tu as vécu baignée dans l'amour de tes parents pendant les premières années de ta vie. Ton père, PDG d'une grande entreprise, fondait de grands espoirs en ton frère, de quatre ans ton aîné. Déjà jeune, il faisait preuve de facultés de mémorisation exceptionnelles. Son comportement était exemplaire et il faisait parti du haut du panier dans sa classe. À l'inverse de toi, Tyze, une gamine hyperactive, n'arrivant pas à tenir en place plus de quelques secondes ni à se concentrer. Ton père t'ignorait, mais tu t'en fichais. Tu recevais toute l'attention de ta mère, une sage femme douce et rassurante. Vous étiez inséparables et tu l'adulais comme s'il s'agissait d'une star interplanétaire. À tes yeux, elle était l'étoile la plus brillante de cette galaxie.
Malgré vos différences, toi et ton frère étiez très proches et jouiez souvent ensemble. Il t'aidait toujours à faire tes devoirs, à préparer tes exposés et à réviser tes contrôles. Comme toutes les petites filles, tu rêvais de te marier avec lui un jour.
Deux autres enfants avaient vu le jour trois ans après toi et, ensemble, vous formiez une famille unie. Enfin, plus ou moins. Ton père faisait toujours des messes basses avec ton frère, essayant peu à peu de l'éloigner de toi. Tu n'avais pas une bonne influence. Tu n'étais pas aussi brillante, aussi futée que lui. C'est à ses huit ans qu'il reçut un implant nanonique. Ton père n'avait parlé à personne de sa décision. Il disait que vous ne pouviez pas comprendre, que lui accomplirait de grandes choses et qu'il méritait d'accéder à la vie éternelle. Les économies de la famille y étaient passées et les mois qui suivirent furent compliqués. Heureusement, la situation a fini par se stabiliser quelques années plus tard.
Tu avais dix ans. Les jumeaux en avaient sept. Ton grand-frère en avait quatorze. Il s'apprêtait à faire sa rentrée dans un établissement privé et très prestigieux, aidé par les relations de votre père. Alors qu'il te lançait un dernier regard, tu as senti que quelque chose clochait. Il n'était plus le même. Son sourire, son attitude avaient changés en une fraction de seconde. Tu ne savais pas ce qui allait se passer, tu n'aurais jamais pu t'en douter, tu n'étais qu'une enfant. Le soir-même, en revenant de l'école, tu as vu ton père faire les cent pas dans la cuisine en se rongeant les sangs. Ta mère sanglotait sur le canapé. Les jumeaux étaient dans leur chambre. Tu t'es approché, doucement et tu as demandé ce qu'il se passait.
« Ton frère a disparu. »
Le choc. Le déni. Puis les larmes. Tu es tombée à genoux sur le sol et tu as commencé à pleurer toi aussi, longuement. Tu te sentais tellement coupable de l'avoir laissé partir ce matin-là. De ne rien avoir dit à tes parents. Au fond de toi, tu savais que tu ne le reverrais jamais. Cette évidence était si forte, si ancrée en toi, tu étais si résolue que tu es restée de marbre lorsque la police a sonné à la maison et a annoncé avoir retrouvé le corps de ton frère. Un Jumper avait pris possession de son corps, s'était bien amusé avec, avant de l'abandonner dans un coin mal famé de la ville. Il était sans doute mort terrifié, appelant à l'aide et suppliant de revoir ses parents. Il avait été froidement abattu par un gang de la ville, tremblant sûrement de peur.
Après ça, plus rien n'était pareil. Ton père a décidé de divorcer, vous abandonnant ainsi toi, ta mère et les jumeaux. Eux n'avaient pas conscience de tout ce qu'il se passait et, de toute tes forces, tu t'es efforcée de les protéger. Prenant désormais le rôle d'aînée, tu as veillé sur ta mère qui sombrait peu à peu dans la dépression. Elle n'avait plus goût à rien, s'enfermant dans la chambre de son fils pendant des heures, à regarder le vide. Tu as fait ce que tu as pu Tyze, mais tu ne pouvais plus rien pour elle. Tu l'avais déjà perdue, à l'instant même où il avait disparu. Et toi aussi, tu t'étais un peu perdue. Il avait été ton plus grand soutien moral pendant des années, et te voilà livrée à toi-même, devant jouer le rôle de la grande sœur. Tu as appris à cuisiner, tant bien que mal, à faire le ménage et à te servir de la machine à laver. Tu gardais tes cadets lorsqu'ils rentraient de l'école et tu les aidais à faire leur devoir. Tu jouais avec eux, leur donner le bain, et les mettais au lit.
Un an plus tard, ta mère recommença à sortir. Un jour, elle revint avec le sourire. Le premier sourire depuis des mois de tristesse. Elle s'assit sur le canapé devant vous et commença à vous expliquer qu'elle avait trouvé des gens pour l'aider, pour la sauver. Puis elle vous a demandé de vous déshabiller, vous promettant que vous aussi elle vous sauverez. Cette nuit-là, vous avez beaucoup pleuré. Vous avez supplié. Vous ne vouliez pas être sauvés, pas de cette manière...
À l'école, personne n'osait te poser de questions sur tes pansements. Les professeurs préféraient fermer les yeux. Tu aurais voulu appeler à l'aide, mais aucun son ne parvenait à franchir ta bouche. Au lieu de ça, tu pleurais dans ton lit le soir. Puis tu te levais le matin, essayant de garder cette même énergie que tu avais toujours eu. Tu grandissais, petit à petit et, arrivée à l'âge de quatorze ans, tu as fini par totalement embrasser les principes de Tres Angustias dont faisait partie ta mère, Hyde. Comprenant les bienfaits de la douleur sur l'esprit, tu t'es mise à l'automutilation. Les jeunes jumeaux ont eux aussi accepté ces doctrines. Vous viviez désormais selon le mode de vie de la secte, bien que vous étiez trop jeunes pour en faire partie. Vous appeliez votre mère Sœur Hyde. Tu étais Sœur Tyze. Eux étaient Frère Soren et Sœur Uluvia.
Votre mère aurait du vous abandonner. Mais son instinct maternel était encore trop fort. Elle voulait au moins atteindre que tu aies atteint ta majorité pour faire de toi la tutrice légale des jumeaux, ne voulant sous aucun prétexte les laisser repartir avec leur père.
À ta majorité, tu héritas donc de l'appartement familial, ainsi que de la garde des jumeaux. Ta mère avait disparu dans la nature et sous la multitude de masques de Tres Angustias. Tu sais qu'elle est là et que, malgré tout, elle continuera à veiller sur toi de loin, et cela te suffit amplement. D'ailleurs, tu as rejoint la secte le jour de ton anniversaire, un onze juillet. Commençant en tant Profane, tu as fait tout ton possible pour montrer ta loyauté envers leur doctrine. Présente à toutes les messes, bénévole pour les actions chocs des Pleurants, tu ne manquais pas une occasion de pouvoir être en présence des Mères, que tu adules depuis toujours et auxquelles tu es prête à obéir aveuglément. C'est aussi à cette époque que tu as commencé tes études d'infirmière, souhaitant suivre les traces de ta chère mère en aidant les autres. Cela a toujours été ton but dans la vie.
Trois longues années se sont écoulées. Tu avais beaucoup de mal à suivre tes études mais tu t'accrochais, autant que possible. Il te restait encore deux années avant d'en finir et de pouvoir travailler à l'hôpital où tu avais déjà fait tes stages. Charmés par ton sourire et ta bonne humeur, ils t'avaient promis un poste, ce que tu n'allais clairement pas refuser ! Tes deux adorables jumeaux se sont envolés de leurs propres ailes, trouvant un logement en colocation dans Megacity. Tu redoutes le jour où ils vont devoir se séparer, eux qui sont si fusionnels... Ils ont rejoint les rangs de Tres Angustias eux aussi et, même si désormais ils se doivent de n'être plus que des étrangers pour toi, tu ne peux t'empêcher de les chercher du regard, espérant un jour revoir leurs yeux pétillants et pleins de vie.
La vie suit son cours et, après avoir fini tes études, tu es devenue infirmière au plus grand hôpital de Megacity. Dans le même temps, tu es devenue une Pleurante. Désormais âgée de 23 ans, le vie te sourit et tu lui rends bien. Tu te demandes quel genre d'aventures t'attendent désormais, maintenant que tu as accompli la plupart des objectifs que tu t'étais fixé. Jalee
20 ans
Comment avez vous connu le forum ? Un certain demolition man m'en a parlé
Un dernier mot ? v'nez vous faire soigner chez moi <3
Fun facts :- Son nom se prononce Tizée, pas tise. - C'est une grande fan de LMS et d'émissions ultra-violentes en tout genre. Elle rêve d'avoir un autographe de Paladin. - À côté de ça, elle joue à des jeux comme My Teen Romantic Comedy... - Elle dort encore avec des peluches. D'ailleurs elle en a une sacré collection ! - Elle fête tous les ans l'anniversaire de son grand frère en cuisinant un gâteau et garde une photo de lui sous son oreiller. - Elle a un fétiche très particulier avec le sang. - Elle est émétophobe (peur de vomir), ce qui est parfois handicapant dans son travail. - Elle rêve de devenir la nouvelle Mère Ténébreuse un jour. Au moins autant qu'elle rêvait d'être Aaliya quand elle était petite. - Elle s'intéresse de très près au Cognitive Fragmentation Disorder et à tout ce qui touche les nouveaux troubles, apparus avec les nouvelles technologies. - Elle aimerait bien un jour avoir assez d'argent pour se lancer dans la mode manimale.
Votre personnage a-t-il un implant nanonique ? Non mais tu économises pour t'en faire poser un, un jour.
Que pense-il de l'implant nanonique et de l'immortalité ? Tu penses que c'est merveilleux. Si tu pouvais vivre éternellement, tu pourrais apporter du bonheur à des générations d'êtres humains ! Tu deviendrais peut-être même une déesse, t'élevant ainsi aux côtés des Mères que tu adules tant. Tu pourrais ainsi veiller sur tous les fidèles, apprendre à tous les connaître et les aider dans leur quête de pénitence.
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